Face à ce problème, j’observe, pour schématiser très grossièrement, trois réponses possibles (avec des centaines de nuances).
- Il y a les personnes qui connaissent le problème écologique, s’en affligent, mais sans en tirer de conséquences concrètes dans leur vie quotidienne. Ceux-là n’agissent pas encore. Ils sont très majoritaires.
- Il y a la minorité grossissante de ceux qui sont conscients du problème, et qui ont commencé à agir, mais de manière assez symbolique. C’est la catégorie dans laquelle je me range moi-même, et dans laquelle je place 95% des écologistes que je connais personnellement. Appelons-les « les écolos lambda».
- Il y a enfin ceux qui ont pris toute la mesure du problème et en tirent toutes les conséquences dans leur vie quotidienne. On pourrait les appeler les écolos alpha, mais moi je vais plutôt les appeler les verts solitaires, tant ils sont rares.
- Les écolo lambda et leurs contradictions
- Le vert solitaire, un courageux marginal
- Quid des éco-hameaux actuels
- Le projet de village mobile, en principes
- Le projet de village mobile, en pratique
- Le point névralgique, un habitat léger
- Conclusion provisoire
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